Alcootests et tests de dépistage de drogues pour les établissements de santé

Alcoline a été fondée en 1992 en partie en raison de la demande d'alcootests dans les établissements de santé. Alcoline a depuis fourni des alcootests et des tests de dépistage de drogues aux hôpitaux, GGD, GGZ, pharmacies, centres de traitement des toxicomanies et aux fournisseurs du secteur médical. Le secteur de la santé a des souhaits spécifiques concernant ses appareils. Par exemple, les appareils électroniques doivent porter le marquage CE et le règlement sur les dispositifs médicaux (MDR) entrera en vigueur en 2020. Alcoline dispose d'un produit adapté à chaque secteur et sera donc en mesure de fournir les produits adaptés au MDR.

Produits recommandés pour les établissements de santé

Lois et règlements

Depuis la loi RGPD sur la protection des données personnelles, la réalisation de tests d'alcoolémie et de drogues n'est pas devenue plus simple, même dans les établissements de santé. Il existe quelques exceptions telles que la loi sur les conditions de ressources pour les délinquants violents ; Sur la base de cette nouvelle loi, la police a le pouvoir de tester les suspects arrêtés pour des crimes violents pour lesquels la détention provisoire est autorisée pour consommation d'alcool et de drogues. S'il existe une indication, basée sur des symptômes externes, d'une consommation d'alcool ou de drogues, un alcootest et/ou un test salivaire pour la présence de drogues peuvent être ordonnés. Si ce test est positif, une enquête de suivi sera lancée. Cet examen de suivi consiste en une analyse respiratoire ou une prise de sang. Lors d'une prise de sang, un médecin légiste est appelé et prélève du sang sur le suspect.

Confidentialité médecin-patient

S'il existe un besoin médical de procéder à un test d'alcoolémie et/ou de drogue, la connaissance de ce sujet relève avant tout du secret médical. Ceci s'applique également si, lors d'un examen diagnostique ou d'un traitement médical, des substances figurant sur les listes mentionnées dans la loi sur l'opium sont trouvées dans ou sur le corps d'un patient. Dans le même temps, l'établissement ne peut tolérer la violation des interdictions et constitue une menace inacceptable pour la sécurité de ses propres employés, des autres patients et des visiteurs.

S'il est nécessaire de prélever du sang sur une personne séjournant dans l'établissement de santé en raison d'une conduite sous influence, la police fera appel au médecin légiste habilité à le faire. Des médecins du GGD ont été désignés par région pour les tâches médico-légales de prélèvement de sang. Le médecin légiste contacte le référent de l'établissement de santé (sauf accord contraire) pour accomplir sa mission. Le médecin légiste évalue, éventuellement en accord avec le médecin traitant, si un prélèvement de sang est médicalement justifié.

Un alcootest et/ou un test salivaire de drogues peuvent constituer une solution en tant que premier contrôle de la présence d'alcool et de drogues avant le début de la procédure complexe de prise de sang. Alcoline dessert divers établissements de santé en Suisse et à l'étranger pour la fourniture et l'entretien de l'alcool. testeurs et tests de dépistage de drogues afin qu'ils aient toujours un appareil approuvé à portée de main.

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